Kanye West : bientôt candidat à la présidence des Etats-Unis?

Kanye West a rencontré Donald Trump mardi. Il a publié sur Twitter une forme de compte-rendu de leur entretien et a réaffirmé son projet de se présenter à une prochaine élection présidentielle.

Hier rappeur, puis styliste, aujourd’hui conseiller du président et demain président des Etats-Unis. Kanye West ne manque certainement pas d’ambition ! Mardi, la star a rencontré le magna de l’immobilier. Un entretien qui a de quoi franchement étonner les fans du mari de Kim Kardashian. « J’ai voulu rencontrer Trump afin de discuter des problématiques multiculturelles« , a-t-il justifié sur Twitter. « Ces problématiques incluent le harcèlement, le soutien aux instituteurs, la modernisation des programmes d’études et la violence dans la ville de Chicago. C’est important selon moi d’avoir une communication directe avec notre futur président si nous voulons un vrai changement« , a continué Kanye West.

De leur côté, les équipes de communication de Donald Trump ont confirmé le bon déroulement de cet entretien. « La rencontre s’est faite à l’initiative de Kanye et nous avons été ravi de l’accueillir. Le président élu et Kanye sont de vieux amis et ils ont évoqué un large éventail de sujets. C’était une discussion très constructive« , a souligné le clan Trump.

Une candidature annoncée puis repoussée

Kanye West qui sort tout juste d’une hospitalisation en psychiatrie pour épuisement, a également évoqué son projet de se présenter à l’élection présidentielle de 2024, écrivant tout simplement « #2024 » sur le site de micro-blogging.

Ce n’est pas la première fois que le rappeur de 39 ans parle de candidater pour accéder à la fonction suprême : il avait formulé son souhait l’année dernière déjà, dans une interview pour l’édition américaine de Vanity Fair, puis sur la scène des MTV Video Music Awards. A l’époque, il parlait plutôt de se présenter en 2020, il aurait donc repousser la date à 2024. Selon les médias américains, ce serait le clan Trump qui l’aurait convaincu d’attendre huit ans, prévoyant déjà une possible réélection du magna de l’immobilier.