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Dans « Conversations privées avec le président » de Karim Rissouli et Antonin André (Albin Michel), François Hollande revient sur quelques épisodes difficiles de son quinquennat : sa rupture difficile avec Valérie Trierweiler, l’histoire des « sans-dents », ainsi que sur la révélation de sa relation avec Julie Gayet dans « Closer« .
Dans ce livre, François Hollande confie que la journaliste de Paris Match n’avait pas réalisé la difficulté d’être la conjointe d’un chef d’Etat : « Valérie elle-même avait hésité à endosser le rôle. Elle a été mal comprise, elle ne s’y était pas préparée« .
Surtout, il est revenu sur la polémique des « sans-dents » en répondant aux attaques de son ex-conjointe qui l’avait accusé de mépris social : Selon lui, c’est Valérie Trierweiler qui a « un complexe social vis-à-vis de (lui). »
Valérie Trierweiler, elle, a décidé de répondre en se payant le chef de l’Etat avec un papier consacré à Julien Lauprêtre, président du Secours Populaire. Pour annoncer son article sur Twitter, au titre ironique « Merci pour ces vacances« , la journaliste appelle Julien Lauprêtre « mon président« . Une façon pour elle d’indiquer que l’autre président n’existe plus pour elle..
Deux ans et demi après la révélation de sa liaison avec Julie Gayet (alors qu’il était encore en couple avec Valérie Trierweiler), François Hollande revient sur cet épisode : « C’est une douleur (…) Mes ruptures sont très médiatisées alors que ce n’est pas du tout dans ma nature de les partager« . Le président ne se prive pas de mettre en cause les chaînes d’information en continu : « La même presse qui disait « on ne rentre pas dans les détails s’y vautre !‘ TF1 et France 2 se retiennent. Mais les chaînes d’information en continue, il faut voir ce que c’est ! »
